Un quartier glauque, un loft aménagé de façon éclectique, éclaté, une femme se présente à la porte de la pièce de bain où l’attendent des copains très chauds. Les copains l’invitent à se mettre à poil et à les regagner à la baignoire où l’un des deux typesldeux garçons baigne dans une eau curieusement verte. On se croit en plein délire hallucinatoire. La magnifique a de mignons ballons, une taille assez intensive sur des membres plutôt graciles. Elle est bien conservée et nos deux potes bandent, anticipant les plaisirs qu’ils vont s’offrir avec elle. Elle les prépare en se masturbant lentement, ils l’encouragent en lui caressant les loches. Elle répond par une gâterie ensuite deux. Les baguettes se baladent au abord d’elle, arrive ses mamelles dans sa figure, arrive ses cuisses, dans son abricot, arrive son cul. Le délire se prolonge jusqu’en elle, dans sa peau, elle sent monter le contentement ultime. Sa peau frisonne, sa gueule et sa grotte ont soif d’enfourner des baguettes. Plus on la touche plus elle veut être touchée, plus on lui frotte les loches plus elle veut qu’on lui met des baguettes. Son cœur veut crémer quand le contentement charnelle est à son comble.
