; Si j’ai choisi de baiser avec Mandigo c’est que je suis une gloutonne. On dit qu’il ne faut pas avoir les yeux plus géant que l’abdomen. Moi c’est ma bouche qui n’est pas assez grande pour apprécier son géant monstre noir, heureusement qu’il a pu la rentrer dans ma moule. Oui j’ai eu des difficultés à le pomper ce bougre avec son grosse queue et je ensuite vous assurer que je l’ai senti passer quand il est rentré dans ma moule. Au début je me sentais envahie écartelée, à me demander s’il n’allait pas me déchirer le vagin tellement il l’emplissait, m’obligeant à écarter mes cuisses au maximum pour qu’il rentre au fond de mon con. Mais quel pied de se sentir à la merci d’une présence masculine, son jouet, sa chose dont il dispose à sa guise. Je suis heureuse de revoir cette séquence en train de me faire copieusement baiser comme une bête en chaleur. Oui j’ai aimé jouir empalée, submergée par le beau Mandigo, aussi quand il venu me jouir dessus c’était comme une délivrance…
