La baignoire d’Émilie est au moins aussi généreuse qu’elle ne l’est elle-même. Elle entame le bain vêtue d’un petit-haut et d’un slip bien moulant. Elle joue dans l’eau avec un canard jaune et un méga jouet intime noir… Il servira à sodomiser de ces mecs qui l’accompagnent et qui adorent bien avoir un bâton dans les miches à l’aubaine. Ils profiteront de de l’eau et de la mousse pour se faire des ablutions autant rentre garce et larron qu’entre garçons. Ils en sont un peu et coïtent volontiers avec le duo sexes. Émilie aime bien cette situation. Tout le monde est bandé et peut lécher sa moule ou son malabar. Elles’empiffre d’ailleurs étant celle qui peut en prendre jusqu’à trois d’un coup. Elle petite gâterie le duo biroutes en même temps, ou tandis un seul tandis qu’elle zieute la technique de ses garçons rentre eux. Ces petits attouchements ne sont que les pré miss aux vrais grands moments de va et vient bisexuels . L’attirance se manifeste par la ferveur que les gaillards mettent à la labourer, le braquemart à nu, aussi bien qu’à se faire mettre par son membre viril de latex ou bien par le zizi de celui-ci bonhomme. Le savon aidant, les chibres bien lubrifiées glissent bien dans tous les fourreaux et en ressortent propre comme des neuves, prêtes à resservir. Vu la ferveur des débats de la baignoire commune, nous parions qu’il n’y aura plus tellement d’eau dans le bain à la fin du film, que du foutre et un canard pris dedans!
