Fouets, godemichés, menottes, bas résilles, crucifix, ces accessoires vous rappellent-ils quelque chose ? Ici, vous êtes dans l’antre de la parfaite dominatrice, une femme de pouvoir qui sait se faire obéir et qui repousse les limites de son imagination pour infliger des humiliations, de la douleur et toutes formes de souffrance à leurs partenaires, que ce soit des hommes ou des femmes.

Dans la panoplie de la parfaite dominatrice, il y a le langage autoritaire. Ces femmes ne font pas dans la langue de bois, bien loin de là. Elles savent parler à leurs esclaves, se faire obéir par le seul moyen du dénigrement, de l’injure et, leur lexique est tellement riche qu’on s’en perd.

Les hommes riches, il est bien connu, son généralement abonnés à ces femmes de caractère. Autoritaires dans leurs différents lieux de travail, ce ne sont que des chiffes molles qui, devant ces maîtresses, sont prêts à faire des courbettes impossibles.

Patron d’une grand entreprise, Bernard fait parti de ces hommes qui, tous les week-ends, passent voir leurs maîtresse pour se faire punir. Il a une jolie femme mais, la seule fois qu’il se sent épanoui dans sa sexualité, c’est quand il se fait maltraiter. Le bougre est un esclave volontaire et, ce qu’il adore le plus, c’est que cette dominatrice lui attache violemment les couilles, les tétons avant de le rouer de coups. Une vie de chienne quoi !