Celui qui n’a jamais bénéficié d’une cravate espagnole n’a pas encore visité le Nirvana, disent certains. Il s’agit d’une pratique sexuelle qui date des siècles derniers, à l’époque de la bourgeoisie française.

En effet, les hommes mariés, pour prendre leur prendre leur pied vite fait avec leurs soubrettes, généralement d’origine espagnole, leur demandait de baisser leur bustier pour insérer leur bite entre leurs seins. Ces dernières retroussaient ensuite ces nibards pour permettre au patron d’effectuer un mouvement de va et vient, qui finissait par une éjaculation rapide. Ainsi, à l’insu de madame et du reste de la famille, monsieur pouvait utiliser sa bonniche comme objet pour ses séances de masturbation rapide.

Incroyables origines !

A l’origine, cette pratique est appelée cravate du notaire. En effet, à cette époque, la plus part des hommes exerçant ce métier étaient contraints de porter une cravate chaque jour. Le port de la cravate était donc associé à la fonction de notaire. Pourquoi cravate ? Tout simplement parce que, après éjaculation, le sperme dégoulinant à partir du haut jusqu’au bas de la poitrine de la femme ressemble étrangement à une cravate. Alors, les pervers ont fait dans la récupération en baptisant cette pratique cravate du notaire.

Il est à souligner que la branlette espagnole est une variante de la cravate du notaire car, elle se pratique debout, tandis que la second, en position couchée.