Pour certaines femmes, le plaisir ne se trouve que dans l’auto-fist, c’est-à-dire s’introduire un objet quelconque ou sa main dans ces parties intimes. Des films spécialement dédiés à cette pratique sexuelle ont la cote auprès d’un public averti. De nombreuses histoires décrivent le plaisir que certaines en retirent, il faut dire que le commerce de godemichets à encore de bon jour devant lui.

C’est l’histoire d’une scène dans un film pour adulte qui va vous être raconté. C’est l’histoire de Fabiola, une jeune franco espagnole, une déesse à avec un gros cul qui faisait fantasmer une bonne partie du bahut quand nous étions plus jeune. Le temps passa et le porno devint une carrière qui me plaisait, pas comme acteur plutôt comme réalisateur. J’avais une autre vision de la pornographie. Elle doit être au service du plaisir véritable, celui de tous et particulièrement des femmes.

C’est ainsi que lors d’un casting je revois Fabiola toujours aussi belle avec ce corps que tous les grands frères voulaient posséder à l’époque. Elle était à l’agence pour un casting, pour une scène d’auto-fist. Elle avait le choix entre un gode de grande taille ou sa main. Rapidement, elle passa aux choses sérieuses, sa chatte humide me narguait comme pour me rappeler mon inconsistance de l’époque. Tandis de le gode la pénétrait tel une bite géante, sous mon regard excité et me rappelant la bosse dans mon pantalon.