L’Asie, ce vaste continent qui regorge de femmes aussi belles qu’atypiques, alimente fortement l’industrie du porno avec des actrices qui se révèlent chaque jour. En effet, il est rare de tomber sur un film porno entier sans que la salope asiatique ne soit représentée. Elles sont d’ailleurs souvent invitées à jouer des rôles cochons ! De ce côté de la planète, le sexe se débride de plus en plus car, la tradition qui constituait un frein à l’épanouissement sexuel de ces chinoises, thaïlandaises, coréennes, japonaises et autre tend à disparaître, laissant place à un mélange des cultures bénéfiques au libertinage ou à l’expression totale de sa sexualité.
Nous tendons, petit à petit, vers la fin du mythe de la femme asiatique et son impudicité légendaire, et on découvre que derrière la facette culturelle de la femme soumise, il y a des vices cachés, des rites sexuels débridés, qui ne disent pas leur nom.
En effet, ces meufs ont grandi avec un enseignement basé sur la soumission à l’homme. Cela veut dire qu’elle pense d’abord à satisfaire son partenaire avant de penser à son propre plaisir. Elles ont donc quelques rudiments en la matière. Caresses buccales, attouchements particuliers, il parait qu’en matière de préliminaires, elles n’ont pas d’égal !
En faite, derrière leur masque de sainte ni touche, il y a une culture basée sur le sexe qui mérite qu’on y fasse un tour.